Humanvibes vous recommande : « Au soleil redouté » de Michel Bussi

Humanvibes vous recommande : « Au soleil redouté » de Michel Bussi

 

                        Humanvibes vous recommande : "Au soleil redouté" de Michel Bussi

Ce 06/02/20, le nouveau roman de Michel Bussi Au soleil redouté aux éditions Presses de la Cité est en vente. C'est l'évènement littéraire de ce début d'année ! Sur Humanvibes, je vous invite donc à lire mon article consacré à cette parution tant attendue par des milliers de lecteurs.trices !!

 

Humanvibes vous recommande : Au soleil redouté de Michel Bussi

Au soleil redouté – Michel Bussi – Presses de la Cité

 

 

Google / quand sortira le nouveau roman de Michel Bussi ?    

 

Jeudi 06/02/20

JOURNAL de GAÏA

Mon précieux

 

Ce matin à 10h pétantes, je vais acheter le dernier Bussi Au soleil redouté. Ensuite je vais rentrer chez moi, le sourire aux lèvres.  Je me connais. Je vais avoir envie de courir à mon appart et de me jeter dessus comme une mort de faim…

 

13 jours plus tôt

 

Vendredi 24/01/20

JOURNAL de GAÏA

Fan, fan, simplement j’te dis

 

Je ne comprends pas. Je suis ce que l’on appelle une addicte aux romans de Michel Bussi, et je ne manque pas une sortie de ses romans. Et là, devant moi, que vois-je ? Son tout nouveau Au soleil redouté aux éditions Presses de la Cité ?

 

MARC

Après s’être assis, il sort un livre de son sac. Pas n’importe lequel, hein ! Celui de Michel Bussi. Il attend avec impatience cet instant, son trajet en RER E va lui permettre de bien s’en imprégner. Il en vient même à souhaiter une panne ou un retard pour lire un peu plus à cause des travaux d'extension du réseau vers l'Ouest, ce qui est assez fréquent en ce moment !

 

Lundi 27/01/20

JOURNAL de GAÏA

J-10

Encore le même type de vendredi qui se trouve à 2 rangées de sièges devant moi, mais comment a t-il pu se procurer le livre ? Je me suis déjà renseignée, il ne sort que le 06/02/20 aux Presses de la Cité. Il faudra que je vérifie tout de même sur Internet…

MARC

La semaine débute bien. C’est vrai que le lundi, certains disent que l’on peut entrer dans une sorte de mini dépression post week-end. Sauf que ce n’est pas le cas de Marc, car il sait que dans le RER il va pouvoir continuer son nouveau Bussi.

 

Mardi 28/01/20

JOURNAL de GAÏA

Espion lèvetoi

Bon, manifestement je voyage dans le même créneau horaire matinal que l'homme au Bussi. Je vais essayer de m’approcher pour en savoir plus…Voilà, je suis à côté de lui, je sors mon téléphone en faisant genre…

MARC

Marc s’installe tranquillement sur un siège sans personne à ses côtés, à part une fille sur sa gauche qui consulte son téléphone. Il espère ne pas être dérangé par une conversation téléphonique intempestive, il ne manquerait plus que ça. Bon, il part fort le roman ! Raconter l’histoire principalement sur le mode d'un journal, il faut bien le faire pour que celui-ci soit captivant. Et là, il est tout de suite happé par l’histoire. Chapeau l’auteur !, se dit-il à lui-même.

 

Mercredi 29/01/20

JOURNAL de GAÏA

Encore des mots toujours des mots

Bon, j’ai bien vérifié sur Internet. Le bouquin ne sort pas avant le 06/02/20, c’est certain ! C’est peut-être son agent ! Non, je délire, son agent l’a déjà eu entre les mains forcément. Un réalisateur ? Un scénariste ? Non, je ne le vois pas dans le cinéma, mais alors qui ? En tout cas il a l’air très concentré par sa lecture…

MARC

Marc a quelque jours devant lui pour lire le roman avant de faire son article sur son site Humanvibes. La date qu’il s’est fixée est le 06/02/20, jour de sortie officielle du nouveau Bussi Au soleil redouté. L’éditeur Presses de la Cité  lui a fait parvenir l’objet littéraire le 24/01 dernier, il ne faut pas tarder…

 

Jeudi 30/01/20

JOURNAL de GAÏA

Les Marquises ce n'est pas la banquise

Je suis en congé aujourd’hui, j'ai posé une RTT. Le roman se situant aux Marquises, j’en ai profité pour faire des recherches sur la toile sur ces îles en Polynésie française. Jacques Brel est omniprésent sur celle d’Hiva 'Oa. Il est enterré dans un cimetière pas loin du peintre Paul Gauguin ! Deux célébrités dans un tout petit périmètre à 14 546 kilomètres de Paris, il faut se motiver pour faire un pélerinage ! Et surtout faire des économies…

Bon, j'évite la case départ à Roissy, et je ne touche pas 20 000€ de ma banque, loin de là ! Ce ne sera pas pour moi, mais je suis déçue égoïstement que l’action se déroule aussi loin, j’aime bien faire un tour quand c'est possible sur les lieux dont parle l’auteur …Ou alors…Allez ma fille ! C’est décidé, je pars 3 semaines aux Marquises ! Moi, ce sera Au soleil velouté en septembre 2021 ! Cela veut dire : pas d’inscription à la salle de gym, pas de restos, pas de vacances en Sardaigne cet été, et terminé les achats de fringues superflues, je commence ma cagnotte ! Et puis avec mon prénom – Gaïa – ne suis-je pas la déesse et la personnification de la Terre, que l'on appelle Terre-Mère ? Les îles volcaniques des Marquises ont une terre fertile où tout pousse. Génial, les îles Marquises et moi, on ne devrait faire qu’une ! Sur Internet, il se dit même que derrière mon prénom se cacherait une personnalité combative et têtue…C'est pas faux. Donc Hiva 'Oa, prépare-toi, j’arrive !

MARC

Je suis scotché ! fait Marc à sa fille. C’est top ! Je me demande comment Bussi fait pour articuler aussi bien son récit afin de créer une tension grâce au suspense qui ne vous lâche pas un instant ! Oui, je te le passerai quand j’aurai fini, si ta mère ne se jette pas dessus avant !

Marc se rend à la gare, pressé plus que d’habitude de se remettre dans l’histoire d’ "Au soleil redouté"…

 

Vendredi 31/01/20

JOURNAL de GAÏA

Corps à corps

Zut, je n’ai pas vu le gars sur le quai. J’ai dû le rater, ou il est parti en week-end…Bon, j’ai 32 ans et je me dis que j’ai peut-être passé l’âge d’être une groupie ? Eh bien non, détrompe-toi mon journal adoré. Quand on aime, on ne compte pas ! J'en ai mis des commentaires sur les réseaux sociaux après chaque lecture, pour dire tout le bien que je pensais de l'auteur. Je me souviens d’un salon du livre à Paris, où j’ai fait le pied de grue 2h25 – montre en main, pour parler avec mon auteur préféré 5 minutes et avoir une dédicace. C’était pour Nymphéas noirs à l'époque, très bon bouquin celui-là…Ah ! Non le voilà… tout haletant. Il monte dans le train à la dernière seconde. Eh bien mon lapin, j'ai bien cru que j'allais voyager toute seule ! Il est debout pas loin de moi ! Je peux l’approcher… pas mal… non son parfum, pas lui, ce n’est pas du tout mon genre !  Il a dû quand même en mettre un peu trop de son machin ! Qu’est-ce qu’il fabrique ? Il prend quand même mon Buss…son…son Bussi !!! Super, je vais essayer de me mettre juste derrière lui…voilà j'me faufile… et de lire dans son dos, mais je ne veux pas me divulgacher comme on dit en bon français !

Je suis curieuse malgré tout. Il en est où… à la page 187, il doit lire ailleurs que dans les transports. Ous les eux, sa de Ya ui res qués… Non, ce n'est pas du Marquisien ! Mam ide un oup on erre de biè…Rien à faire, je n'arrive pas à lire correctement tellement il bouge dans tous les sens ce maudit wagon !  Bon, il n’est pas encore à la fin. Au rythme où il avance, il devrait selon mes calculs le finir vers le 05/02, je sais c'est un peu capillotracté… Quoi qu'il arrive ce sera quand même avant moi… Le chanceux.

 

ISABELLE et HENRY

– Tu as vu ce que lit le type devant toi, grimace Isabelle en interrogeant discrètement son mari.

Henry, perdu dans ses pensées lui répond poliment en réprimant une envie de bailler, ballotté par le mouvement du train.

– Non …

– Un Michel Bussi. Cela doit être le nouveau. C’est curieux, je ne l’ai pas vu dans les rayons en tête de gondole à la librairie hier… C’est un truc que je peux offrir à ta mère quand on ira déjeuner chez elle dans 15 jours, qu'en penses-tu ?

– …

– Hé ho Henry, j'te parle !  Un Bussi. Tu vois, je ne me fiche pas d’elle comme tu me le reproches souvent !

– Henry n’écoutait qu’à moitié son épouse. Quoi ? Une gondole…Tu veux aller à Venise ?

– Isabelle continuait sur son idée sans relever la remarque de son mari. J’avoue. Ils sont toujours bons ses romans, et surtout je pourrais lui piquer après, se dit-elle sourire machiavélique en coin…

MARC

Marc a bien conscience qu’il fait partie des privilégiés en lisant le nouveau roman de Michel Bussi. Peut-être que dans le wagon des gens l’envient et s'interrogent en ce moment en le voyant s’y plonger, qui sait ? Il jette un oeil autour de lui. Non, quand même pas à ce point là…

 

Lundi 03/02/20

JOURNAL de GAÏA

Indices de suspicion 10
 

Ils parlent de la mort comme tu parles d'un fruit
Ils regardent la mer comme tu regardes un puits
Les femmes sont lascives au soleil redouté
Et s'il n'y a pas d'hiver, cela n'est pas l'été
La pluie est traversière, elle bat de grain en grain
Quelques vieux chevaux blancs qui fredonnent Gauguin
Et par manque de brise, le temps s'immobilise
Aux Marquises

Les Marquises(1977)- Extrait – Jacques Brel

 

Je recopie machinalement une partie du texte du chanteur Au soleil redouté. C’est une parole tirée de l'une de ses chansons  qui s’intitule Les Marquises datant de 1977. Je faisais quoi à cette époque ? Ben quoi, je rigole toute seule, j’étais pas née… J’essaye de trouver des indices sur l’histoire de Bussi dans le texte. Il faudra que je m'y penche sérieusement  quand j’aurai fini le livre, à moins qu’il n’y ait pas de rapport. Si je peux pendant une dédicace, parce que je compte bien le rencontrer à nouveau, j’en parlerai à Bussi. Je guette l'arrivée de mon lecteur. Il ne s'assoit pas à sa place habituelle. Tiens mon p’tit protégé ne lit pas ce matin ? Il est malade ? Il a fini le livre aux toilettes ? Je me perds en conjectures…

MARC

Il a changé de sac sans s’apercevoir qu’il n’avait pas repris son Bussi. Non, mais je suis abruti ou bien ? 45 minutes de lecture aller-retour de perdues, je suis vert marmonne t-il dans sa barbe, en se recroquevillant sur son siège.

 

Mardi 04/02/20

JOURNAL de GAÏA

Chronique marquisienne

Je sais !! Le type est journaliste ! C’est pourquoi il prend des notes par moments. Il a reçu le roman avant tout le monde ! Enfin, avant tout le monde, comme tous les journalistes. Tiens il faudrait que je lui demande dans quel journal il va faire son article. Mauvaise idée, il va croire que je le drague ! Calmos. Sois transparente, comme dirait ma mère.

MARC

C’est curieux. Marc avait le sentiment depuis 4 ou 5 jours, qu'il se sentait observé. Un truc, curieux, diffus, qui ne le lâchait pas. Mais pour quelle raison ? Pour une crotte de pigeon sur son manteau ? Ou un épi tenace dans les cheveux qu'il traîne depuis un moment ?

 

Mercredi 05/02/20

JOURNAL de GAÏA

Le fin du fin

Oh là là !! Il ne lui reste plus que quelques pages, il va arriver au dénouement !! J’avais raison dans mes calculs de savante. Excellent, je vais pouvoir faire une analyse anthropologique sur un lecteur de Bussi qui va découvrir la fin d’un de ses romans, et en direct s’il vous plaît Madame. ! Je me régale ! Alors, montre un peu ta tête mon coco…Il doit lui rester une quinzaine de pages. Oh ! Je viens de voir tout à coup son visage changer ! Ah zut son téléphone sonne, il ne va pas répondre quand même ? Pas au moment crucial, il n’a pas le droit !! Nooonnn !! Ouf. Il l’ignore…et…ça y est…il reprend sa lecture…il fronce les sourcils…il souffle…ses yeux semblent être comme sur des rails, ils ne quittent pas les pages…il ne fait pas attention à la personne qui lui marche sur le pied et qui s'excuse maladroitement. Il n'entend rien, il est dans sa bulle.. Je détourne le regard pour ne pas passer pour une psychopathe…Au bout de 10 minutes je le fixe à nouveau. Dernière page…Il semble tétanisé, ailleurs, il ne bouge plus. C'est dingue ! Il relit encore quelques pages rapidement… puis il revient au début du roman…ferme le livre…regarde par la fenêtre…Il secoue la tête. Il ne sait plus où il habite ! Il retourne son livre dans tous les sens. Manifestement il a pris le final en pleine poire ! Il doit bastonner les neurones le nouveau Bussi ! Qu’est-ce qu’il ressent ? J'aurais bien aimé lui parler. J’en suis la témoin unique, là, en ce moment, c’est beau… Bravo ma vieille ! Tu t'es trouvée là au bon moment. Si j'avais pu filmer ça discrètement, ma vidéo aurait fait le tour du monde !  Et bientôt ce sera moi qui vais vivre cette expérience émotionnelle…

MARC

Dans sa tête, tout est en ébullition. En finissant les dernières pages il ne peut s’empêcher de revenir un peu en arrière pour bien profiter du moment encore une fois, un peu comme une boisson fraîche qui vous désaltère en plein été en terrasse, mais dont vous savez que ce sera malheureusement la dernière gorgée. Il relit aussi le début… Il vit un moment de bien-être mêlé d’adrénaline, voilà ce qu’il ressent en mettant Au soleil redouté de Michel Bussi dans son sac, en lui jetant encore un œil, comme un amoureux transi vers sa belle…

 

Jeudi 06/02/20

JOURNAL de GAÏA

Mi-chel Mi-chel !

Je l’ai, je l’ai, je l'ai enfin mon nouveau Bussi !! J’ai carrément pris ma journée. En fait je n’ai pas faim… mais je vais le dévorer !! Oui, mais si j’attendais un peu ? Comme devant une gourmandise qui se trouverait devant moi et que je ne pourrais pas goûter tout de suite… D’ailleurs, si le roman était un gâteau, ce serait quoi ? Une religieuse au chocolat ? Non, trop convenu. Un Paris-Brest ? Non, les livres de Bussi font voyager, 590 kilomètres, c’est un peu court jeune demoiselle ! Une tarte aux fruits ? Oui, mais alors avec des fruits exotiques tellement ses livres nous font parcourir le monde… Non, trop classique. Ah, je sais ! Un baba au rhum avec de la bonne crème chantilly ! Oui, c’est ça ! Je tiens ma friandise ! C’est généreux, onctueux, corsé avec l’ajout du rhum, et tu sais quoi mon journal ? J’ai une mignonnette du précieux breuvage qu’une amie m’a apporté de son voyage de Martinique, c’est une bonne occasion pour l’utiliser, non ? A la santé de Michel Bussi ! Un aussi petit flacon, si je devais partager avec lui, ce serait un peu léger… Et puis la crème, ça serait pour symboliser la fin de ses romans, la cerise sur le gâteau ! Toujours surprenant, toujours haletant, mais tellement délicieux !

Je me souviens de  Le temps est assassin  quand j’ai découvert l’explication racontée par…ne vous inquiétez, je serai une tombe, muette comme une porte de pris…, non comme une porte de la Muette, ça me va très bien, alouette ! Non, je ne suis pas du genre à raconter la fin de ses romans, j’en parle autour de moi, là par contre je suis une vraie pipelette, je suis un réseau social à moi toute seule ! Si je devais mettre, je ne sais pas moi, ne serait-ce qu’un euro dans le nourrain à chaque fois, mais tu serais riche ma chérie ! Allez dis-moi combien ? Je ne sais pas moi… Si, j’insiste ! Bah, là en y réfléchissant je te dirais… 100 000€ autour ? 200 000€ ? Ah oui pas mal ! Et puis il y a quelque chose que je ne t’ai pas dit… Je les relis mes Bussi. Oui, oui, absolument. On écoute bien de la musique régulièrement en mettant ses morceaux d’artistes ou de groupes préférés, pourquoi je n’aurais pas le droit de lire et relire plusieurs fois ! Et le plaisir est toujours là !

Je découvre même des choses que je n’avais pas entrevues dans mes nombreuses relectures. C’est comme se trouver devant un tableau. Vous découvrez toujours des petits détails, des petits rien du tout, des bouts de phrases, des situations, des silences aussi, qui vous font voir le roman sous une autre facette. J’adore lire et relire sans cesse. Je suis comme une spéléologue qui découvrirait la grotte de Lascaux, et qui reviendrait l’étudier sans cesse, et sans cesse. Est-ce que lorsqu’on est un romancier comme Bussi, on se rend compte de toutes les émotions que l’on fait partager à ses lecteurs ? Je pense que oui quand on n’est pas connu, parce que le début du succès doit forcément entraîner une exaltation sans pareil, mais après ? Est-ce que cette mystérieuse alchimie littéraire, cette empreinte, cette impression qu’on laisse auprès des autres qui est toujours présente à l’esprit des romanciers ? Impression ? Oui, c’est le mot juste, ce sont des impressionnistes à leur manière, et si je devais comparer Bussi avec un artiste peintre, ce serait l’un des plus grands en la personne de… Monet !

Tu trouves ça exagéré mon journalounet ? Moi non. On en reparlera dans 50 ans, par contre ce qui est dommage, c’est qu’avec Monet il n’existait qu’un original, et là avec Bussi, je n’ai pas le manuscrit d’origine, c’est bête… Imaginez que je puisse en avoir un ! Mais je le mets sous cloche transparente, et j’organiserai des visites comme dans un musée, et je vous le promets je ferais mieux que le Louvre ! Tu trouves que j’exagère mon compagnon de toujours ? Alors je m’adresse à vous lecteurs, lisez les Bussi, gavez-vous en, relisez les comme moi et surtout tenez-moi au courant !  lemondegaia@outlook.fr

Sur son téléphone, un numéro qu’elle ne connaissait pas s’était affiché sur l’écran.

Tiens, qui peut bien m’appeler ? Puis de l’autre côté. "Allô, c’est Michel Bussi… "

 

GaÏa

 

Et pour aller plus loin :

Interview de Michel Bussi sur Humanvibes

http://www.humanvibes.com/content/interview-de-michel-bussi-abracagatha?ck=

Interview du "Tac auTac" de Michel Bussi sur Humanvibes

http://www.humanvibes.com/content/interview-du-tac-au-tac-de-michel-bussi?ck=

Site officiel de Michel Bussi

https://www.michel-bussi.fr/

 

Michel Bussi sur France 2 en 2018 au sujet de la réédition de son roman revisité Sang famille aux éditions Presses de la Cité

Michel Bussi – France 2  – YouTube

 

Marc / Humanvibes

Publié le 06/02/20

                                                 

Comments

No comments yet. Why don’t you start the discussion?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *