Le « Créalisme » de Luis De Miranda (part. 2)
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Nous avions laissé le philosophe Luis De Miranda nous dire ceci: "Celui qui veut dominer tout le monde finit par ne dominer personne car son monde est plat, lisse les différences, et ne crée pas d'affinités électives. C'est le problème de la mondialisation standardisante héritée du XXe siècle". Suite et fin de l'interview. Propos recueillis par Sophie Péters-30/05/2011 La Tribune